D’imaginaires culturels en récits judiciaires, de la Belle au bois dormant aux dispositions du Code pénal, les jeunes réfléchissent à nos représentations et définissent ensemble les contours du consentement, avant de se pencher sur la définition juridique du viol. La loi française n’étant pas basée sur le consentement, ils articulent leur réflexion avec le droit existant. Ce travail peut être prolongé par un atelier législatif, pour imaginer le droit de demain, dont le droit international a d’ores et déjà donné l’impulsion.
Le consentement sexuel et la loi
Atelier philo pour une éducation au consentement sexuel, éclairée par les lumières du droit Dès la 3ème